Je n’avais jamais entendu parler de ce roman avant de le recevoir pour le Prix Audiolib et ne savais donc pas du tout à quoi m’attendre. Et je dois tout de suite vous dire que j’ai abandonné assez vite cette lecture. Je pense même si je suis honnête que si ça n’avait pas été un livre audio très bien lu par Thibault de Montalembert je l’aurai abandonné encore plus vite !
Je n'ai pas du tout accroché à cette / ces histoires... en fait je vais encore être honnête (au risque de passer pour une idiote!) : j'avais l'impression que je ne comprenais rien de ce que j’écoutais (ce qui admettez-le, n’est pas très agréable quand on lit pour son plaisir ;-) ... Je n’ai pas aimé ne pas savoir à quelle époque on était (apparemment c’est du steampunk… un genre dont je n’avais qu’entendu parler et dont je peux maintenant dire que ce n’est pas mon truc !).
Il y a deux histoires, une qui concerne un vol de bijou et des meurtres (et qui se passe dans une époque Steampunk… entre 19ème siècle et science fiction ?) et une autre qui se passe de nos jours avec une fabrique de cigares … Il y a tout un tas de nouveaux personnages qui arrivent... on ne sait pas quels sont les liens entre eux... J'avais l'impression que mon ipod était en mode aléatoire tellement c'est décousu... J’ai vraiment eu l'impression de lire une parodie par moments …
La seule chose que j’ai aimé c’étaient les passages sur la lecture à voix haute faite dans les usines de cigares qui m'ont beaucoup plu.
Vous remarquerez que je ne vous raconte pas l’histoire… Mais c’est parce que ça ne m'accrochait pas du tout et que je n’avais même pas envie de comprendre : je ne me suis attachée à aucun personnage et leurs destins ne m’intéressaient pas plus que ça :-( Et j'ai pour "politique" de ne pas m'ennuyer en lisant un livre! Je vous renvoie vers le résumé chez Audiolib et les billets des copines du prix!
Chez Sylire (Le thème du mois était "un très bon lecteur")
Mes copines du Prix Audiolib l'ont lu : Estellecalim, Sylire , Valérie
lecture "lieu" de ma ligne "audio"
J'inscris ce texte au Défi Livres de Argali